Gallery – Spannabis Málaga 2014
We leave you with some photos of the fair Spannabis 2014 edition of Málaga. A Hug for everyone. Kannabia Team
Péninsule Ibérique expédition express
0€ Commandes supérieures à 60 €
*6€ commandes inférieures à 59€
Europe de l'Est, de l'Ouest et du Sud expédition express
0€ Commandes supérieures à 150 €
*18€ commandes inférieures à 149€
Livraison express Europe du Nord
0€ Commandes supérieures à 160 €
*20€ commandes inférieures à 159€
Irlande, Norvège, Royaume-Uni expédition normale
0€ Commandes supérieures à 60 €
*6€ commandes inférieures à 59€
Reste du monde expédition normale
0€ Commandes supérieures à 180 €
*25€ commandes inférieures à 179€
Les frais d’expédition peuvent être confirmés dans votre panier.
Pour des méthodes d’expédition supplémentaires, veuillez contacter info@kannabia.com.
*Site Web protégé par SSL.
** Non disponible dans toutes les régions.
*Votre coupon vous sera envoyé par e-mail.
*Si vous avez des questions, des commentaires ou des commentaires, n’hésitez pas à nous contacter ????.
Cette étude internationale, qui a compté sur la participation de 184 765 patients, démontre que 24% de la base génétique qui prédispose à consommer du cannabis est partagée avec la base génétique de la schizophrénie. Cela signifie que les personnes qui souffrent de cette pathologie mentale présentent plus de risque de consommer du cannabis.
En tout, l’étude révèle 16 nouvelles régions génétiques qui prédisposent à la consommation de cannabis tout au long de la vie. Ce travail a été publié par la revue scientifique Nature Neuroscience et a compté sur la participation de professionnels de la médecine de Vall d’Hebron, Hôpital Campus de Barcelona.
Il s’agit d’une étude qui quintuple le nombre de personnes y participant par rapport au travail précédent, le plus grand réalisé sur la relation entre la consommation de cannabis et les pathologies mentales comme la schizophrénie. En effet, dans cette recherche internationale, 184 765 échantillons ont été analysés.
La docteur Marta Ribasés, chercheuse principale du groupe de Psychiatrie, Santé Mentale et Addictions du Vall d’Hebron Institut de Recherche (VHIR) a expliqué que:
“Cette étude a dévoilé 16 nouvelles régions génétiques impliquées dans la vulnérabilité à consommer de cannabis, un fait très important pour connaître les bases génétiques de l’usage de cette substance. Donc, le travail confirme qu’il y a un composant génétique impliqué dans le fait de consommer du cannabis au cours de sa vie”.
Il semblerait que jusqu’à maintenant on ne connaissait que deux régions génétiques liées à la consommation de cannabis.
“Le fait que ce nouveau travail apporte 16 nouvelles régions est un progrès très important”, remarquait la docteur Marta Ribasés dans une note de presse diffusée par Vall d’Hebron, Hôpital Campus de Barcelone.
“Il est confirmé que la relation entre la consommation de cannabis et la schizophrénie est en partie déterminée par une base génétique partagée. 24% de la base génétique qui prédispose à consommer du cannabis est partagée avec la base génétique de la schizophrénie. Cette étude indique que les personnes qui souffrent de schizophrénie présentent plus de risque de consommer du cannabis”, déclarait la docteur Marta Ribasés.
D’un autre côté, l’étude montre aussi une corrélation génétique entre la vulnérabilité à la consommation de cannabis tout au long de la vie ainsi que la consommation d’alcool ou de tabac et le TDAH (trouble pour déficit d’attention ou hyperactivité). Le Dr. Josep Antoni Ramos-Quiroga, chef du Service de Psychiatrie de l’Hôpital Universitaire Vall d’Hebron et chercheur principal de groupe de Psychiatrie, Santé Mentale et Addictions du VHIR a signalé en plus que cette découverte “nous aidera à mieux connaître la relation entre la consommation de cannabis et les pathologies mentales aussi graves que la schizophrénie et par conséquent développer des traitements individualisés”.
Dans d’autres publications, on a pu lire qu’une étude de l’Université du Nouveau Mexique a mis en relation le cannabis avec la schizophrénie, cette fois comme traitement possible de la maladie, en utilisant le CBD. On aurait adoré commenter plus en détail cette recherche avec les professionnels médicaux de Vall d’Hebron, mais après des semaines de contact ils ont décidé de ne pas répondre à notre questionnaire; c’est pour cela que l’on vous livre ici toutes les incertitudes qui nous viennent à l’esprit.
On espère que la science continue à progresser et que l’on pourra bientôt répondre à ces questions qui nous paraissent si importantes. En attendant, la moitié de la planète continue à avancer vers une règlementation intégrale d’une plante qui a bien démontré son efficacité comme traitement pour d’autres types de pathologies comme le cancer ou le lupus.