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Si vous recherchez un hybride autofloraison parfait et bien équilibré, la Dream Sherbet Auto de Kannabia est celle qu’il vous faut absolument. C’est l’une de nos variétés « Made in USA » qui alimenteront votre soif de nouvelles génétiques nord-américaines. Comme vous le verrez dans ce grow report, celle-ci vous mènera dériver sur un océan de possibilités et vous portera l’esprit bien loin de chez vous, dans un petit coin de paradis, tant sa vue vous enchantera.
La Dream Sherbet Auto est l’une des variétés les plus demandées de notre collection de graines « Made in USA », une génétique qui a bien vite gagné le cœur des producteurs les plus exigeants grâce aux qualités qu’elle a héritées de sa mère, la Dream Sherbet, l’une des indicas les plus célèbres de notre catalogue, née du croisement d’une Girl Scout Cookies et d’une Pink Panties. Après son passage par l’autel Ruderalis, elle a acquis son caractère automatique, pour le plus grand plaisir de ceux qui recherchent de gros rendements, mais qui disposent de peu de temps et qui sont peu enclins à faire de gros efforts.
Ses fleurs sont d’un indicible onirisme, dures et compactes, couvertes d’une dense couche de trichomes brillants d’où émanent une odeur et une saveur tout simplement incroyables, dans laquelle se mêlent douceur fruitée et amertume terreuse sublimées de nettes touches de melon et de mangue. Si vous n’avez jamais été conquis par l’arôme d’une variété spécifique, c’est vers elle qu’il faut vous tourner pour enfin découvrir ce qu’est l’amour, le vrai.
De plus, la Dream Sherbet Auto est puissante puisqu’elle est riche de près de 20% de THC. Et pourtant son high est assez léger, fait d’un effet corporel relaxant et d’une stimulation mentale agréable qui peut aisément se manifester par d’incontrôlables fous-rires. La Dream Sherbet Auto envoie ceux qui la consomment dans un endroit relaxant et heureux où ils se sentent libres d’exprimer leur créativité tout en conservant une profonde conscience d’eux-mêmes et de leur environnement. Par ailleurs, elle est suffisamment puissante pour apaiser la douleur et les nausées sans pour autant vous clouer au sofa, ce qui explique son succès auprès des consommateurs de cannabis médical. Pour le dire en un mot, c’est une variété tout en un.
En raison de sa dominance indica, la Dream Sherbet Auto pousse comme un arbuste touffu de taille moyenne doté de feuilles vert foncé à longs folioles. Ses fleurs sont denses et, à mesure qu’elle mûrit, elle se pare d’une légère teinte violette.
Bien qu’elle apprécie la lumière, elle est accessible aux producteurs du nord de l’Europe qui pourront aisément la cultiver en extérieur, à condition de choisir un endroit bien protégé et ensoleillé. Les plantes se développent mieux dans des sols enrichis de compost et son cycle de vie est d’à peine 75 jours pour des rendements en extérieur de 200 gr/plante (en fonction des conditions de culture et des phénotypes), tandis qu’en intérieur, vous pourrez en retirer 500 gr/m2 de fleurs extrêmement résineuses, comme vous le verrez dans le grow report qui suit.
Toute commence par une graine placée dans un verre d’eau durant 24 heures puis posée sur un bout de coton humide. La radicule en émerge après 14 heures. Je la déplace alors dans un pot de 11 litres d’un mélange de 60% de substrat Biobizz Light Mix et de 40% d’All Mix. Je n’y ajouterai aucun nutriment supplémentaire durant au moins deux semaines. Je mets le tout sous une lampe FC 3000 de Mars Hydro qui ne sera pas la seule utilisée, puisque je recourrai également à une P1000 de ViparSpectra de 100 watts pendant la floraison. Voici les paramètres de culture de départ :
Durant la première semaine, et après seulement 24 heures, la plantule germe et croit correctement. Les cotylédons se font voir et permettent un développement impressionnant de la plante durant les deux jours suivants. La plante change du tout au tout chaque nuit à partir du jour 7. J’utiliserai des nutriments légers dans une dizaine de jours (ce n’est pas encore nécessaire) si le besoin s’en fait sentir.
Au cours de la deuxième semaine, entre les jours 8 et 10, la plantule fait montre d’un développement incroyable, le plus impressionnant que j’ai vu de ma vie, toutes variétés confondues. Elle s’est parfaitement adaptée au faible taux d’humidité relative et aux hautes températures (jusqu’à 29ºC). Je commence à ajouter un léger apport (1,05 ml) de sels d’Epson, Bio-pH et calcium chelaté, un additif à utiliser lorsque la quantité de calcaire de l’eau se trouve en dessous des valeurs recommandées.
Pendant la troisième semaine, la plante évolue à la perfection, mais sa croissance ralentit quelque peu. Je coupe deux grandes feuilles en éventail pour permettre à la lumière d’accéder aux nœuds inférieurs qu’elle n’éclaire que trop peu pour le moment. Je pratique un palissage LST depuis les nœuds inférieurs. La plante y réagit à merveille et développe de nouvelles pousses grâce à cette meilleure pénétration de la lumière.
Au cours de la quatrième semaine, la plante poursuit sa croissance de manière régulière. Mais, comme des moucherons se sont logés dans le substrat, je décide de laisser sécher la terre et j’utilise des bandes de contrôle. Je nourris donc la plante par le dessous au moyen d’un système de goutte-à-goutte. La plante entre en préfloraison, si bien que je commence à l’arroser d’un booster PK de Green House Feeding. La lampe fonctionne à 100% 30 cm au-dessus de la plante, ce que celle-ci semble beaucoup apprécier. Je mets un terme au LST car la plante est parfaite telle qu’elle est.
Pendant la cinquième semaine, la plante se gave de tout ce que je lui donne. J’ai défolié certaines des plus grandes feuilles. La plante mesure maintenant 45 cm et arbore une stature merveilleuse avec un nombre impressionnant de sites de floraison. Elle dégage également un parfum enchanteur. En 3-4 jours, elle prend 10 cm, sans étirement excessif. J’éteins la lumière en journée et je l’allume la nuit pour compenser la baisse des températures. C’est idéal en cette période de préfloraison.
Durant la sixième semaine, la plante atteint 65 cm. Elle est dans sa dernière semaine de floraison préalable à la maturation. Je m’attends donc à un beau grossissement des têtes. Dans quelques jours, je pratiquerai une nouvelle défoliation, plus intense cette fois. En effet, je retirerai 1/5 des feuilles en éventail pour exposer au mieux les fleurs. Finalement, je n’ai pas utilisé de lampe P1000 supplémentaire. Les prix de l’électricité sont trop élevés pour le moment.
Pendant la septième semaine, la plante se stabilise à 65 cm de haut. Sa croissance est donc totalement terminée. Les fleurs augmentent en poids et en densité. Je contrains donc légèrement la plante de manière différente toutes les 24 heures pour que la lumière pénètre partout et sous tous les angles. Je poursuis un régime léger malgré la couleur vert très clair des feuilles. J’ajoute néanmoins plus de NPK, ce qui a pour résultat de légères brûlures sur l’extrémité des folioles. On voit parfaitement les longs colas. Cette génétique est parfaite jusqu’à présent.
Huitième semaine et rien ne laisse penser que la plante soit sur le point de cesser de renforcer ses fleurs. Elles sont nombreuses, sublimes, denses et compactes et dégagent une odeur douce et acide à la fois, accompagnée de musc. Quant à leur aspect, que dire sinon qu’elles sont ravissantes avec leur énorme quantité de trichomes. Pour le moment, leur poids n’est pas suffisant pour justifier l’utilisation de tuteurs ou de filet de maintien, puisque le LST a renforcé les branches.
Au cours de la neuvième semaine, la plante approche de son point de maturation optimal, tout en continuant à développer ses colas. Les feuilles commencent à montrer des signes de décoloration, indice que la plante atteint la sénescence. L’odeur musquée se fait plus intense et je perds patience tant j’ai envie d’y goûter. Les fleurs sont couvertes de nombreux trichomes qui couvrent également le feuillage, le parant d’une couleur captivante. Je décide de récolter quand 10% des têtes des trichomes sont transparentes, 80% laiteuses et les 10% restants ambrés. Cette combinaison de couleurs indique une maturation maximale et la nécessité de commencer le processus de séchage et d’affinage.
Après taille humide des fleurs, la Dream Sherbet Auto m’a donné 295 grammes de fleurs par plante, soit 68 grammes de fleurs séchées. Avec une lampe LED de 100 W, cela fait un ratio de 2,95 gramme/watt. J’ai cultivé dans une chambre de culture de 0,49 m2, ce qui donne un rendement final approximatif de 602,04 gramme/m2.
Les fleurs se sont joliment développées et présentent une taille impressionnante. Elles sont densément regroupées et largement couvertes de trichomes aussi longs que larges. Elles dégagent une odeur musquée, sucrée et terreuse à la fois, odeur à laquelle s’ajoutent, au moment de l’effriter, des notes de melon et d’autres sucreries qui viennent équilibrer la saveur terreuse. Cela fait environ une semaine que les fleurs sèchent près d’une fenêtre et l’odeur de melon est maintenant prédominante. On y retrouve aussi d’autres fruits qui s’affirmeront à mesure que se poursuivent le séchage et l’affinage.
Comme vous pouvez le voir, la culture de cette plante n’a posé aucune difficulté. Elle présente une grande résistance aux parasites et elle s’est développée en quasi-autonomie. Elle a à peine eu besoin de mes soins pour produire des têtes de première qualité, dignes de n’importe quel dispensaire étasunien. Si vous recherchez une variété de cannabis « made in USA » qui renferme toutes les bontés des nouvelles génétiques californiennes, la Dream Sherbet Auto de Kannabia est clairement celle qu’il vous faut.
Avec sa gamme d’effets équilibrée, tant corporels que cérébraux, ses délicieux arômes fruités et sa culture facile, la Baby Boom Auto de Kannabia a tout ce qu’il faut pour se gagner le respect et l’amour…
La Super OG Kush est, sans le moindre doute, l’une des variétés dont la culture est la plus intéressante. Ce grand classique modernement revisité par Kannabia cache bien ses origines mais ne fait aucunement secret…
